Retourner à la fiche de: Robert Gagnon
Baptême: (Robert Gagnon)
Un garçon né du jour précédent de légitime mariage de Joseph Gagnon et de Marie-Madeleine Olette (Ouellet), ses père et mère demeurant dans cette paroisse. Il a été nomé (sic) Robert.
Parrain: Robert Boulet
Marraine: Marie-Madeleine Renaud
Célébrant: Maisonbasse, prêtre curé de Montmagny
Note: Les parrain et marraine ont déclaré ne savoir signer.
Mariage: (Robert Gagnon dit Belsile)
Lambert (rayé et inscrit Robert en marge) Gagnon dit Belsile, fils de défunt Joseph Gagnon dit Belsile et de Magdelaine Hoilet. ses père et mère de cette paroisse.
Témoins: Du côté de l'époux, Magdelaine Hoilet, veuve de Joseph Gagnon, sa mère, Jean Dubé, son beau-père, Joseph et Jean-Baptiste Gagnon, ses frères, et du côté de l'épouse, Ambroise Brun, son père, Ambroise, Basile et Vincent Brun, ses frères, Joseph et Jean Bérubé, ses beaux-frères et de plusieurs autres parents et amis.
Signataires: Alexandre Ganon (Gagnon) et Vinsan (Vincent) Bruns
Célébrant: Bernard Panet, prêtre curé de Rivière-Ouelle.
Inhumation: (Robert Gagnon dit Belles-Îles)
Décédé avant-hier, âgé de quatre-vingt un ans (81).
Témoins: Joseph Turcot et Lambert Gagnon dit Belles-Îles
Célébrant: Louis-Stanislas Mâlo, prêtre curé de Trois-Pistoles
Note: Les témoins n'ont su signer.
NOTE: Dans les registres de la paroisse de Notre-Dame-de-Liesse (Rivière-Ouelle) nous trouvons un certain Lambert Gagnon, dit Belzile, présent, entre autre, au mariage de ses frères Joseph, en 1782 et René, en 1794. Ils sont les fils de Joseph Gagnon, dit Belzile et de Madeleine Ouellet. Ce "Lambert" est la même personne que Robert Gagnon, dit Belzile marié à Marie-Josephte Brun. La preuve de ceci se trouve dans l'acte de baptême de leur fils Jean-Édouard, en 1801. Le curé inscrit "Lambert" comme prénom du père. Robert Gagnon, dit Belzile se faisait-il appeler Lambert ? C'est possible, du moins durant cette période. Ceci expliquerait le choix du prénom du premier enfant du couple.
Pointe-à-la-Caille fut érigée en paroisse canonique, sous le titre de Saint-Thomas Apôtre, le 29 octobre 1714, par Monseigneur de St-Vallier. Pointe-à-la-Caille doit son nom d’Adrien D’abancour dit La Caille qui se noya dans la rivière à Peton le 2 mai 1641. La paroisse de Saint-Thomas conserva cette appellation jusque vers 1800. (CASAULT, Abbé F. E. J. – Notes historiques sur la paroisse de Saint-Thomas de Montmagny, 1906).