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20 ans au recencement de 1708 à La Hève

Jacques est né en 1688. Dans l'histoire de l'Acadie de H. Léandre D'Entremont, Léandre énumère Jacques comme n'ayant aucune trace d'aucune sorte après le recensement de 1708.

D'après Stephen A. White, d'après les recherches du Père Clarence J d'Entremont dans son livre Histoire du Cap-Sable , Jacques épousa une inconnue vers 1715

Jacques et son père Philippe, étaient présents, le 4 septembre, veille de la prise du bateau du capitaine Samuel Daly, en 1726,
"Les Archives de la Cour Suprême du comté de Suffolk ajoutent quelques détails intéressants à ce récrit. Joseph Roberts, un membre de l'équipage, témoigna qu'à Merliguesh il alla à terre, où il rencontra, en plus des trois Amérindiens amenés à Boston, deux Français et trois autres Amérindiens. Il donna la main à Philippe Mius, qui évidemment était le fils cadet du baron Philippe Mius d'Entremont et de Madeleine Hélie, age d'environ 65 ans à cette date, qui demeurait justement à Merliguesh, comme nous avons déjà dit; il n'y eut en effet aucun autre de ce nom à cette époque. John Robert lui demanda si la paix avait été établie, et reçut pour réponse qu'il y avait eu une « bonne paix ». Il y avait ici également Jacques Mius, que nous avons déjà mentionné comme celui qui était, releva-nous, l'aîné du deuxième groupe des enfants de Philippe Mius d'Entremont et de Marie, amérindienne. Ces deux se rendent à bord du bâtiment avec John Roberts, dont le témoignage nous révèle en plus le nom d'au moins trois Amérindiens, à savoir Jacques, Philippe et Jean Missel, probablement pour Jean Michel. D'après le même témoignage, c'aurait été Philippe Mius, qui parlait un peu anglais, qui aurait demandé à descendre dans la cabine, ("philip Mews Spoke Some English - askt him to drink a dram & eat Some Cold Victuals") . C'est alors que le déposant fait savoir qu'il fut maltraité par les Amérindiens et même par Philippe Mius et par Jacques Mius, celui-ci lui ayant dérobé une certaine quantité d'objets personnels, même une bague en or. Il n'est pas dit comment ces deux derniers réussirent à s'échapper; peut-être étaient-ils au nombre des «trois Amérindiens» qui, d'après Colman, sautèrent à la mer."

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