Biographie Landry Lucien
Lucien Landry
Le
28 de mai 1934 un lundi après-midi, je
chargeais un char de bagage à St-André de Kamouraska avec M. Ludger Roy et m. Hernes Siroy autrement dit ti-pitre et
Même
tant nous préparions une place dans le char pour monté toute les trois mais il
y avait seulement m. Roy qui avait le droit de se montré au officier car il
était le responsable du char dans ce train.
On avait pas d’argent mais de la place ça ne manquait pas. Enfin,
nous arrivions à La Sarre le 1er juin 1934. Et là,
ils fallaient sauter en bas du char et se sauvé hors du CN (train). Pour pas que la police nous arrêtent. Et le lundi le 4 juin, ont travail avec M. Alphonse Brassard agronome en charge de la société de
colonisation un monsieur très charmant et dévoué. Et on a décharger trois char sur les chaland une journée
abominable. Et après ont se mettaient
en chemin vers Palmarolle et là rendue au rang 9 de Palmarolle la noirceur
nous prend et nous nous somme arrangés pour nous faire un feu et on a coucher en dessous d’un pin. Et à 5 heures du matin nous partions vers
St-Laurent Gallichan et on n’arrive là à notre plus grand désappointement, il y avait trop de houle pour traverser même
avec un bateau et là il a fallu rester
trois jours en pension chez la famille
Royer au bord de la rivière au bout de trois jours la marine est arrivé
et m. Brassard m’a conduit
à la rivière Antoine et c’est cela qui m’ a amener près de mes deux
premier amis, m. Lévis Paradis et
m. Jos Plourde tous était camper près de la rivière Antoine lot 21 rg 2, dès le lendemain après un dialogue à mes deux
amis, je n’avais pas le choix que d ‘aller voir le lot
19 rg 2, c’est ce que je faisais mais
avec l ‘expérience que j’avais en agriculture même à cet âge, il m’était impossible de faire un vrai
cultivateur .
Quand j’étais partis de St-Hélène du compté de
Kamouraska m’a première devise je serais un agriculteur si
je trouve un lot qui n’avait pas de roche.
J’achèterai
une propriété ça ce vend et ont peut en
achetez une autre et je peux dire aujourd’hui que sa bénédiction ma vraiment
porter fruit. En 1945, l ‘année suivante je trouvais à acheter les deux lots numéro 27
et 28 du petit rang 8 de Palmarolle qui avaient une bonne maison et 18 âcres en
abattis et en souche dès la première
année est devenue en labour pour ensemencé en 1946.
En
1975, 35 années plus tard , je possédais une ferme de 300 âcres dont 250
en culture très bien organisé.
Mais
le plus important c’est que j’ai réussis à élever une famille de 10 enfants qui
sont tous bien installés aujourd‘hui
et que j’ai travailler pendant 36 ans.
Avec ma famille encouragé avec l ‘amour de mon
coin de terre que j’ai construit.
Donc, j’ai travaillé sur ce lot temporairement dans le but de me faire un petit chez-moi au
printemps de 1945, j’avais une bonne
partance de lot avec une belle maisonnette que j’aimais beaucoup j’en était
très fier car j’avais la fierté et la
foi d’avoir mon petit chez moi que j’avais rêver et de l’avoir fait de mes
mains mais en me contentant seulement de cela
j’étais voué à être journalier
tout le temps de ma vie. Et à l’’
automne 1944, m. le curé Émile Couture qui était le guérisseur pour tous les maux pour tous les citoyens de sa paroisse et
représentant du Seigneur en qui j’avais
une confiance inébranlable à sa visite de paroisse nous entreprenions un
dialogue avec lui moi et ma gentille
épouse et là il me dit je sais que tu réussira.
Le Seigneur que j’ ai aimé et que
j’aimerai toute ma vie et que mes successeur continue d ‘ améliorer encore ce
qui constitue toute ma fierté que j’ai toujours su . De ce coin de Palmarolle donc je suis un homme fier de vivre dans un
coin de l ‘Abitibi que j’aime avec ma
famille de 10 enfants, mon épouse que
j’aime. Un homme qui a vécu et qui vit encore 48 années
Abitibienne heureux.
Et
c’est signer Lucien Landry
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