Biographie Gardner Marie



Biographie Gardner Marie

Les descendants de Paul Gardner

Auteur : Benoît Laroche

Au cours de l’année 1855, Paul Gardner et son épouse Geneviève Payeur déménagent leur famille et biens dans le 5e rang du canton d’Halifax. Ce déménagement, qui sera leur dernier, met fin à une mouvance laquelle, dans le cas de Paul Gardner, avait commencé au début du siècle avec son débarquement en Amérique en provenance de son Irlande natale. De ce nouveau point d’ancrage, ils rayonneront sur une descendance nombreuse, d’abord installée dans la région immédiate, mais qui par la suite se dispersera aux quatre coins de l’Amérique. Le but de ce document est de retracer les premiers pas de cette famille et de documenter les descendants immédiats ainsi que ceux de leur fils Paul et de leur petit-fils Jean-Baptiste Gardner.

 

Qui étaient-ils…

 

Paul Gardner voit le jour en Irlande en 1797 dans le comté de Tipperary.  La première trace retrouvée de sa présence au Canada est son engagement en 1807 à l’âge de 10 ans comme Boy dans le 104erégiment d’infanterie- aussi connu sous le nom de New Brunswick Regiment – dans la brigade des grenadiers. Vraisemblablement, il vient avec son père John, recruté par le même régiment vers 1805 et son frère cadet John. Les documents consultés à ce jour ne font pas mention d’une mère présente au pays ou de d’autres frères et soeurs.

 

 D’abord Boy et joueur de clairon et puis soldat à plein titre, il participe à la grande marche de Fredericton à Kingston en 1813 et à plusieurs batailles durant la guerre 1812-14 entre les Américains et Britanniques dans la région des Grands Lacs. Une lettre (annexe 1) envoyée par Paul Gardner au Commandant des Forces de sa Majesté en 1851 nous relate les grandes lignes de sa participation à ce conflit. Le Régiment est dissous en 1817 à Montréal et Paul réside à Québec en 1818.

 

 Son père décède le 28 mars 1810 à Fredericton. Son frère John, né vers 1801 est également engagé comme Boy au Régiment, mais ne semble pas avoir participé activement à la guerre, car on le retrouve cantonné à Trois-Rivières en 181? . C’est la dernière trace trouvée que nous avons de ce frère.

 

Le 7 octobre 1818, Paul Gardner et sept compagnons d’armes, dont son futur beau-frère Daniel White, vendent leurs droits aux lots accordés ou à leur être accordés pour leur participation à la récente guerre. Ces droits sont vendus pour la somme de trois schillings chacun.[1] Le 19 décembre suivant, en l’église presbytérienne St. Andrew de Québec, il épouse une jeune fille de 16 ans et demie, Geneviève Payeur[2]  de St-Gilles de Beaurivage (annexe 2). C’est un mariage double, car la sœur de Geneviève, Marie-Rose, 18 ans, épouse Daniel White de St-Gilles de Beaurivage.   Geneviève est l’avant dernière fille de Christopher Payeur (Bayer), un mercenaire allemand venu combattre les Américains lors de la guerre d’indépendance des États-Unis  et de Madeleine Gendreau, une fille de St-Thomas (Montmagny). Le lecteur intéressé trouvera l’histoire de ce mercenaire et de sa famille dans un article de Reina Grenier publié dans l’édition Le Bercail de juin 1996, le bulletin de la Société généalogique de la région de l’Amiante.

 

Une série de déménagements…

 

Nous savons peu de choses des premières années de leur vie commune. Ils ont passé la première année dans la Basse-Ville de Québec où leur première fille, Geneviève, naît le 23 août 1819 et y meurt le 24 septembre 1819.  Le 14 avril 1820, un acte notarié[3] spécifie que le couple a loué de Louise Masse une maison pour une année commençant le 1e mai sur la rue de L’Artillerie dans la paroisse St-Jean-Baptiste à Québec (Cette rue qui n’existe plus se trouvait vraisemblablement là où est le Musée de l’Artillerie aux portes St-Jean). Le contrat spécifie que le prix du logement sera de vingt schillings par mois et de plus il sera défendu de peinturer les murs et planchers avec une peinture à l’eau. Le loyer devra aussi être garni de meubles courants comme garantie de payements. Paul y est décrit comme un journalier habitant la Basse-Ville. Une deuxième fille, Marie, naît à Québec le 13 mai 1821.

 

Puis vient l’achat d’un lot sur Craig Road East dans la Seigneurie de St-Gilles de Beaurivage, secteur de St-Sylvestre le 18 février 1823. Cet acte d’achat[4]  décrit Paul Gardner comme un marchand résidant de St-Nicolas. Il s’agit d’une terre qu’il acquiert pour une somme de 70 livres 20 louis de François Gagnon, terre initialement concédée par les Seigneur en septembre 1820. Il s’agissait donc d’un lot récemment ouvert à la culture. Le prix et l’absence d’une indication à cet effet suggèrent qu’il n’y avait pas de maison sur ce lot.

 

La date du déménagement de la famille à cet endroit n’est pas établie.  Leur premier fils, Paul, naît le 18 février 1823 et la famille réside dans la Seigneurie de St-Gilles sans indication du secteur (Les paroisses de St-Gilles et St-Sylvestre ne seront crées qu’en 1829). Au recensement de 1825, la famille est dénombrée non loin des Payeur qui eux habitaient près du village de St-Gilles, alors qu’au recensement de 1831, la famille était définitivement établie à St-Sylvestre sur le lot 10 de Craig Road East.  De plus, nous savons que, le 8 juillet 1828, Louis est né à St-Sylvestre.

 

Le recensement de 1831 nous apprend donc que Paul vit le lot 10 du Chemin Craig avec sa femme et quatre enfants en bas âge. Il est entouré de ses deux beaux-frères, Augustin Simoneau (marié à Angélique Payeur) et Charles Payeur. On y apprend aussi qu’il a récolté l’année précédente 50 minots de patates, et qu’il possède 3 bêtes à corne, 1cheval, 2 moutons et 1 cochon; ce qui est très similaire à la situation de ses voisins.

 

En avril 1832, Paul Gardner effectue un échange de lots. Il obtient le lot no 10 du rang St. Philips de St-Sylvestre en retour de son lot sur le chemin Craig. Il vend une partie de ce nouveau lot à Louis Payeur (son beau-frère ou son neveu) pour 28 livres quelque tems après. Ce lot a été concédé pour la 1ère fois en 1828. Il s’agissait donc d’un lot en défrichement. Le 23 novembre 1837, il effectue un autre échange de terrains. En retour de son lot sur St. Philips et de 150 livres, il obtient le lot 56 sur St Mary’s Road North ainsi que 2 arpents sur le lot 57, deux lots concédés une 1ère fois en 1822. Il vend ces lots quelque temps après et vient s’installer dans le canton d’Irlande. 

 

Les cantons…

 

Ce déménagement survient entre la naissance de Pierre (18 novembre 1838 à St-Sylvestre) et celle d’Anna (le 23 août 1840 dans le canton d’Irlande). Le contrat d’achat n’ayant pas été retrouvé, le lieu précis n’a pas été établi. Vraisemblablement, ils ont occupé un lot au Maple Grove. À cette époque, la partie peuplée du canton consistait en une bande de terre longeant les chemins Craig et Gosford et un autre longeant le chemin Bennett en de quelques lots avoisinant ces chemins.  On peut visualiser cette région en cliquant ici . Ils ont vécu dans ce voisinage jusqu’en 1855.

 

C’est en 1855 que la famille Gardner déménage à St-Ferdinand d’Halifax et s’établit sur le lot 229 du 5e rang du canton d’Halifax, un rang qui surplombe le village. Ils y passeront le reste de leur vie. Au recensement de 1861, il est dénombré sur ce lot avec son épouse. Alors âgé de 63 ans, il est propriétaire d’un lot de 50 acres dont 30 sont en culture (14 ¾ acres en récoltes, 15 acres en pacage et 1/4 acre en jardin), le reste étant en bois. Il y cultive une variété de céréales et y élève porcs, vaches, moutons; tout comme ses voisins. En 1871, ils y vivent encore, entourés de plusieurs fils et filles établis également dans le 5e rang.

 

Bien qu’originalement protestant et de langue anglaise, Paul Gardner s’est intégré très vite dans son environnement familial francophone. Les enfants sont élevés en français et dans la religion catholique. Il en avait été ainsi de la famille Payeur, élevée en français et dans la religion catholique quoique le père fût allemand et de religion protestante. Paul se convertira à la religion catholique au cours de sa vie et sera inhumé au cimetière catholique de St-Ferdinand d’Halifax lors de son décès, le 19 août 1874. Son épouse, Geneviève lui survivra quelques années. Elle décède le 6 février 1881 et sera inhumée à ses cotés. Au cours des dernières années et suivant la coutume de l’époque, ils donneront leurs biens à leur fils Paul contre une prise en charge[5]. Ils avaient fait auparavant un arrangement similaire avec leur fille Marie, arrangement qu’ils avaient révoqués peu de temps après. 

 

Ils laissent derrière eux 8 enfants vivants. Ils laisseront également un nombre impressionnant de petits-enfants dont plusieurs resteront dans la  région natale. Le tableau qui suit donne une liste, pas tout à fait complète de cette descendance.

 

Enfants et petits-enfants de Paul Gardner et Geneviève Payeur

 

Nom de l’enfant

Date et lieu de naissance/date et lieu du décès si connu

Date et lieu du mariage

Conjoint

Enfants connus

Marie

13 mai 1821 à Québec/après 1901

24-1-1841/St-Ferdinand

François-Xavier Grégoire

Marie Suzanne, Joseph, Jean, Zoé, Adèle

Paul

18-2-1824 à St-Gilles/3-10-1891 à St-Ferdinand

8-8-1845/ St-Ferdinand

DesneigesCroteau

Virginie, Jean-Baptiste, Honoré, Alphonse, Anna, Marie-Camille, Paul, Cyrille, Wilbrod, Marie, Alfred-Egesyppe, Philomène, Phoebe

Rose

7-8-1826

8-8-1845/St-Ferdinand

Julien Grégoire

Victoria, Rose, Thomas, Guillaume, Élise, Napoléon, Caroline,Camille, Adélaide, Arthur,Honorius,Julien, Delvina

Louis

6-7-1828à St-Sylvestre/avant 1831

 

 

 

Jean-Baptiste (Johnny)

10-11-1830à St-Sylvestre/

10-1-1854/St-Ferdinand

Marie-Louise Simoneau

Joseph, Ferdinand, Paul, Nazaire, Augustin

Thomas

29-11-1832 à St-Sylvestre/1833

 

 

 

Éléonore

24-8-1834 à St-Sylvestre

28-8-1851/St-Ferdinand

Louis Coté-Fréchet

Émilie, Annie, Julie, William, Cyrille, Alfred, Marie, Adélia, Joseph, Alphonse, Amanda, Léda

Flavien

6-11-1836 St-Sylvestre

 

Ann McSherry

Paul,  Mary Jane, Catherine, Emily Bridgitt, Olive, Ellen

Pierre

 

 

 

 

Anna

23-8-1840 à Irlande /avant 1880

15-2-1858/St-Ferdinand

Damase Labonté

Anselme, Marie, Julie, Delvina

Émilie Zoé

Juin 1842 Irlande

 

 

 

Émerance

7-11-1843 Irlande/ 28-11-1851

 

 

 

Samuel

31-10-1845 Irlande/13-12-1845

 

 

 

 

 

*********************

 

 Paul Gardner fils…

 

Paul fils, l’aîné des garçons, a accompagné ses parents dans leurs multiples déménagements jusqu’au moment où il épouse Desneiges Croteau le 8 janvier 1845 à St-Ferdinand d’Halifax. Ils s’installent dans la région, vraisemblablement dans les premiers rangs de Wolfstown pour quelques années. En 1855, ils déménagent au 5e rang du canton d’Halifax où ils passeront le reste de leur vie.

 

La principale occupation de Paul  fils est d’être fermier. Comme beaucoup de ses contemporains, il a aussi d’autres occupations au fur et à la mesure que ses fils peuvent l’épauler et le remplacer pour effectuer les travaux de ferme. De plus, il fallait remplir les périodes creuses de l’année. Ainsi, l’annuaire Lovell de 1871 pour le village d’Halifax le décrit comme marchand d’animaux. 

 

Paul fils devient un notable respecté de la paroisse. Il est appelé à agir comme évaluateur lors de la confection d’inventaires après décès. Ainsi, lorsque le « banquier » du village  Antoine Martin décède, il est appelé à agir comme un des administrateurs de la succession laissée à la veuve Philomène Sévigny et à son fils. Il sera également un acteur principal dans la succession de son beau-père Jean-Baptiste Croteau qui laisse derrière lui une grosse famille incluant des enfants mineurs; ce qui montre le respect qu’on lui porte. L’établissement de ses enfants est également une préoccupation pour Paul et Desneiges. Par exemple, ils donneront le lot reçu en héritage de Paul père à leur fils Alphonse ‘ dans le but de créer un établissement’ pour leur fils[6]. En 1885, il fonde avec son fils Wilbrod une société à durée limitée de trois ans sous le nom de Paul Gardner et fils ‘pour faire le commerce de détail tel qu’ordinaire à la campagne’[7]. Quoique le contrat dit que la mise de fonds a été faite à part égale, il y tout lieu de croire qu’il y a eu prêt ou don. Le magasin était situé à Woodside à la sortie du village vers Plessisville.

 

L’argent liquide est rare. Lorsqu’on en a besoin pour payer une dette ou pour investir dans une affaire, on passe chez le notaire et on contracte une hypothèque sur le ou les lots de terre que l’on possède. Il en est ainsi de la famille Gardner, Par exemple, en juillet 1885, il contracte auprès du Crédit Foncier Franco-Canadien une hypothèque de 900 $ donnant en garantie 1621/2 acres de terre. Une hypothèque de 25 ans portant un taux d’intérêt de 3% avec payements de 77.47 $ par année[8].

 

Paul décède le 3 octobre 1891 à St-Ferdinand d’Halifax. Son épouse lui survivra de nombreuses années et décède le 22 février 1912 à 86 ans. Au recensement de 1911, elle est dénombrée avec son fils Cyrille ou plus précisément avec le fils de ce dernier Noé. En 1901, elle vivait chez son autre fils Paul.

 

Le tableau ci-dessous dresse une liste des enfants et petits-enfants de Paul et Desneiges identifiés à ce jour. Alors que la deuxième génération s’était établie pour la plupart dans les cantons d’Irlande et d’Halifax, la troisième génération s’est envolée en grand nombre aux  Etats-Unis. Certains, tel Jean-Baptiste, sont revenus après plusieurs années, mais d’autres se sont enracinés là-bas. 

 

Enfants et petits-enfants de Paul Gardner et Desneiges Croteau

 

Nom del’enfant

Dates et lieux [9]de naissance/du décès 

Date et lieu[10] du mariage

Conjoint

Enfants connus 

Virginie

14-12-1845/28-9-1923

21-10-1872

Louis Thibault

Paul Louis

Jean-Baptiste

19-8-1848/12-2-1937

18-1-1870

Geneviève Thibault

Joseph Exaucile, Albert, Paul, Honoré, Joséphine, Omer, Mathilda, Roméo,  Marie-Louise, Marie-Anne

Honoré

20-5-1850/Inconnus

20-7-1874

Clarisse Coté-Fréchet

Marie, Saul, Alice, Rosanna, Annette, Imelda

Alphonse

25-3-1852/Inconnus

17-1-1872

Louise Bureau

Georgianna, Honorius, Adélia, Arthur, Théodore

Anna (Olivine)

22-4-1854/3-4-1875

14-2-1874

François Boucher

 

Marie Camille

14-4-1856/1-2-1860

 

 

 

Paul Israel

10-7-1858/9-11-1934

26-1-1882

Georgiana Marcoux

Rosalie, Émilien

Cyrille

1-5-1860/16-12-1944

10-5-1884

Démerise Boucher

Noé, Liza, Joséphine, Lucien, Michel, Bibiane, Imelda, Urbain, Jeanne, Diana, Irène

Wilbrod

1862/8-8-180

18-4-1887/Cornwall Ont.

Mary Lefebvre

Alice

Marie

6-5-1863/5-1-1884

27-11-1882

Napoléon Larochelle

Wilbrod

Alfred Egesyppe

8-10-1864/Inconnus

7-1-1885/Garthby

Clarisse Deblois

 

Philomène

23-6-1867/Inconnus

25-6-1888

Napoléon Lamontagne

Alphonse

Phoebe

1869/Inconnus

4-7-1887

Charles Binette

Aurèle, Gustave, Omer, Louis, Alcide, Aimé, Philibert, Charles

 

 

Jean-Baptiste Gardner

 

Jean-Baptiste, le premier fils de Paul Gardner et Desneiges Croteau, voit le jour en 1848. Il vit sur la ferme paternelle jusqu’à son mariage. Il épouse sa voisine Geneviève Thibaut le 18 janvier 1870 et va s’installer à peu de distance de son père sur une terre achetée en 1869. On ne lui connaît pas d’autres métiers que celui de fermier. Ils vivront à cet endroit jusqu’en 1902. La famille se fait nombreuse au fil des ans. Dix enfants naissent de cette union, dont une toute dernière, Marianne,  qui arrive  quelques neuf ans après l’avant dernière.

 

En 1902, l’appel des Etats-Unis se fait irrésistible et le couple émigre à Biddeford dans le Maine. Le travail dans les usines est abondant et certains membres de la famille y trouvent du travail. Cependant, le mal du pays se fait aussi irrésistible et Jean-Baptiste et Geneviève reviennent dans leur région natale. Ils s’installent au Maple Grove pour finir leur vie.  Geneviève meurt en 1922 suite à divers maux qui l’ont rendue infirme dans les dernières années de sa vie.  Jean-Baptiste est pris en charge par sa plus jeune fille Marie-Anne et son mari Donat Simoneau qui  demeurent avec lui sur sa ferme. Jean-Baptiste décède en 1937, laissant derrière eux des enfants bien établis.

 

Enfants et petits-enfants de Jean-Baptiste Gardner et Geneviève Thibaut

 

Nom de l’enfant

Dates et lieux [11]de naissance/du décès

Date et lieu[12] du mariage

Conjoint

Enfants connus

Joseph Exaucile

28 mars 1872

15-6-1897/ Berthier

Marie Ernestine Buteau

Juliette

Albert

1873

 

Marianne Fréchette

Jane, Edmond, Laura

Paul

1877

 

 

 

Henry Honoré

8-1878

26-2-1900

Joséphine Huot

Yvonne, Aurélien, Jeannette, Rose-Aimée, Ferdinand, Maurice, Roland, Jeanne d’Arc, Fernande, Aline

Joséphine

24 -6-1881

10-7-1907/ Biddeford

Adélard Labbé

 

Omer

7 -5-1883

7-7-1909

Clara Kerwin

Omer H.

Mathilda

3-4-1885

24-2-1908

Arthur Kerwin

Herbert

Roméo

29-6-1887

9-6-1914

Marie Grégoire

Rachel, Lucien

Marie-Louise

26-3-1889

17-9-1912

Louis Garneau

Thérèse, Roland, Estelle, Philibert, Hector, Bérangère, Onil Armand, Euclide

Marie-Anne

31-3-1898

22-9-1924

Omer Simoneau

Marthe, Guy, Luc, Jean-Paul

 

 

[1] Greffe du notaire Michel Berthelot, no 1578, en date du 7 octobre 1818.

 

[2] Ce nom a été écrit de différentes façons au cours des ans au gré de celui qui tenait la plume : Bayer, Pyre, Paier, Pierre, Pailleur, Payer et Payeur. Certains membres de cette famille ont adopté le patronyme Christophe. Ainsi, Geneviève et Marie-Rose se sont mariées sur ce patronyme, mais ont utilisées le patronyme Payeur par la suite. Pour faciliter la compréhension du texte, nous utiliserons Payeur uniformément pour nommer cette famille, vu que cette orthographe est celle qui a été retenue par la suite dans la plupart des cas.

[3] Greffe du notaire Roger Lelièvre, acte du 14 avril 1820.

 

[4] Greffe du notaire Louis Guay, acte du 18 février 1823.

[5] Greffe du notaire Augustin Schambier, no 1146, 1 février 1871

[6] Greffe du notaire Schambier, no 5021, 29 mars 1883.

[7] Greffe du notaire Schambier, no 6148, 3 septembre 1885

[8] Greffe du notaire Schambier, no 6106, 28 juillet 1885

[9] [10] [11] [12]  À St-Ferdinand d’Halifax, si non spécifié

Sources: http://freepages.genealogy.rootsweb.ancestry.com/~laroche/textes/Paul%20Gardner.htm#_ftnref1

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