Biographie Louise-Lisette Umfreville



Biographie Louise-Lisette Umfreville

Louise Lisette Umfreville est la mère  de 3 ou 4 enfants avec Pierre Berlan Duboishue, ceux ci selon mes recherces n étaient pas marié 

Voir la fiche https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Berland_Pierre-Charles&pid=1167621

Elle serait la mère d Alexandre, Sophie et Marie Ann et probablement  d Edward

Voici un post expliquant l histoire de ces gens

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Pierre Duboishue dit Berland ( Joseph b. 1758 ) Jan. 2024
by Don Sherk and Patricia Breland Sherk

Pierre Duboishue dit Berland ( Joseph né en 1758 ) Janv. 2024

par Don Sherk et Patricia Breland Sherk

Traduit par Google Translate

 

Cet article tentera de mieux définir Pierre Duboishue dit Berland le commerçant de fourrures, né le 29 septembre 1758 à Fort St. Frederic en Nouvelle-France. Les ruines du Fort St. Frederic sont situées à Crown Point dans l'État de New York.

Nous travaillons sur l'arbre généalogique de Pierre Duboishue dit Berland depuis une quarantaine d'années et nous aimerions apporter quelques éclaircissements et corriger certaines informations erronées sur cette famille.

Le nom complet de Pierre Berland, le commerçant de fourrures, est Pierre Joseph Duboishue dit Berland et il est le premier des quatre fils de Pierre Antoine Duboishue dit Berland et de Marie Louise Raymond à recevoir le prénom Pierre.

 

Ils sont : Pierre Joseph né le 29 septembre 1758 à Fort St. Frederic

Pierre Louis né en juin 1759 à Fort St. Jean, décédé le 12 juin à Fort. St Jean

Pierre Charles n. 2 avril 1764, Chambly

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-L99S-69SC?i=413&wc=HCWT-HZ9%3A13629001%2C13629002%2C13704301&cc=1321742

Pierre Raphael n. 21 déc. 1769, Chambly, d. 1771 Chambly.

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QSQ-G99S-6SQM?i=63&wc=HCFF-DP8%3A13629001%2C13629002%2C14089101&cc=1321742

Vous pouvez donc voir que le fait d'appeler un fils Pierre Duboishue dit Berland peut être confondu avec l'un des 4 fils ci-dessus.

Il existe de nombreuses affirmations erronées sur Internet selon lesquelles Pierre Charles est Pierre le commerçant de fourrures, mais un simple examen de la chronologie de Pierre le commerçant de fourrures exclut formellement Pierre Charles.

 

1- La naissance de Jean-Baptiste Berland en 1777 dans les Kootenays. Jean-Baptiste est le fils de Pierre le commerçant de fourrures et d'une femme crie

inconnue.

En 1777, Pierre Joseph Berland aurait 19 ans.

En 1777, Pierre Charles Berland aurait 13 ans.

 

2- Le 13 juin 1780, nous avons un contrat de travail notarié entre Pierre Charles Berland et George Heckler à Montréal. Le notaire est Simon Sanguinet, Fils, acte notarié n° 1617.

En juin 1780, Pierre Charles aurait 16 ans.

Il devrait donc être évident que Pierre Charles est trop jeune pour avoir voyagé dans la région montagneuse de Kootenay et avoir engendré un enfant à l'âge de 13 ans.

De plus, Pierre Charles ne pouvait pas être à Montréal en train de signer un contrat de travail en 1780 à l'âge de 16 ans et en même temps être dans l'extrême ouest en train de se livrer au commerce des fourrures.

 

Ainsi, Pierre Duboishue dit Berland, le commerçant de fourrures, était Pierre Joseph Duboishue dit Berland. Je ferai référence à Pierre Joseph Duboishue dit Berland comme « Pierre Joseph » dans ce document.

 

Il y a une période d'environ 20 ans, de 1777 à 1797, pendant laquelle Pierre Joseph s'est livré à son commerce de fourrures et à divers « mariages à la campagne » sans laisser de traces documentées que nous puissions trouver.

 

Le prochain problème est celui de Louise Lisette Umfreville. Louise Lisette Umfreville est née vers 1783, fille d'Edward Umfreville, commis/agent de la Compagnie du Nord-Ouest à cette époque. Sa mère serait une femme crie. Edward avait déjà été employé par la Compagnie de la Baie d'Hudson à York Factory et à Fort Severn de 1771 à 1782 lorsqu'il fut fait prisonnier par les Français et ramené en France comme prisonnier en 1782.

En 1784, Edward est retourné à Montréal, s'est engagé auprès de la Compagnie du Nord-Ouest et a entrepris un projet visant à trouver une route alternative de l'extrémité ouest du lac Supérieur à l'ouest via Nipigon. Entre 1786 et 1789, Édouard établit et dirigea un poste de traite (Umfreville House) sur la rivière Saskatchewan Nord. En 1789, Édouard retourna en Angleterre, abandonnant ses « femmes de campagne » et ses enfants d'Amérique du Nord.

 

Louise Lisette Umfreville devint une « épouse de campagne » de Pierre Joseph vers 1797.

De cette union, Louise Lisette Umfreville donna naissance à cinq enfants :

Joseph Berland vers 1797

Madeline Berland vers 1800

Clotilde Sophie Berland née en 1801 Cette date de naissance est tirée d'une entrée de baptême dans la paroisse Saint-Laurent de Montréal. L'entrée de baptême de1813 certifie que Clotilde Sophie est la fille légitime de Pierre Berland et de Lisette Umfreville et qu'elle était âgée de 12 ans.

(en 1813). Il est également indiqué que Sophie est née sur la rivière Pembina. La rivière Pembina est un affluent de la rivière Athabasca dans le nord de l'Alberta d'aujourd'hui.

Alexander Berland est né le 26 avril 1802 (date de la pierre tombale du cimetière)

décédé le 7 mars 1858.

Remarque... Une étude ADN réalisée en 2021 a prouvé qu'Alexander était le fils de Louise Lisette Umfreville.

La source ADN de base pour cette étude était Patricia Breland, qui est une descendante directe documentée d'Alexander.

Marie Ann Berland est née en 1805

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Marie Louise Bélédau

1805 En 1085, Pierre Joseph a maintenant une nouvelle " épouse de campagne " en la personne de Marie Louise Bélédau.

Acte de naissance de Marie Louise Bélédeau:

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-8993-WRH2?i=57&wc=HC72-BZ9%3A15298201%2C16889401%2C17609301&cc=1321742

Acte de décès de Marie Louise Bélédeau:

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-L993-W5RQ?i=157&wc=HC72-BZ9%3A15298201%2C16889401%2C17609301&cc=1321742

1805 Pierre Joseph a décidé de se retirer du commerce des fourrures et de s'installer dans la région de Montréal. Nous ne savons pas si Louise Lisette Umfreville ne souhaitait pas l'accompagner ou peut-être Pierre Joseph pensait que Marie Louise Bélédau serait mieux adaptée à la société québécoise. Quoi qu'il en soit, Pierre Joseph, Louise Lisette Umfreville et Marie Louise Bélédau se partagent les enfants issus de l'union d'Umfreville, Joseph né en 1797, Madeline née en 1800 et Marie Ann née en 1805 demeurant avec Louise Lisette Umfreville.

Partent avec Pierre Joseph et Marie Louise Bélédau Clotilde Sophie née en 1801 et Alexandre né le 26 avril 1802.

La famille quitte l'ouest et s'installe dans la paroisse Saint-Martin. Isle Jesus, aujourd'hui Laval Québec.

 

1805 Pierre Joseph s'enrôle dans la milice comme l'exige la loi. Il démarre également une entreprise commerciale dont la première transaction enregistrée a lieu le 12 septembre 1805. Son activité commerciale est enregistrée dans les archives notariales du Québec.

 

Quelques informations importantes sur la vie dans une paroisse du Québec vers 1800

Baptêmes :

Dans l’Église catholique, les nouveau-nés étaient censés être baptisés dans les 24 premières heures de leur vie. Dans de nombreux cas, la mère n’était pas en état de participer à la cérémonie de baptême, de sorte que le père du bébé et peut-être un voisin y assistaient.

Dans le cas de Marie Louise Bélédau, si elle n’était pas présente, c’est Pierre Joseph qui y assistait et lui donnait le nom de Josephte Bélédau.

 

Structure du pouvoir paroissial

Il est important de comprendre le contrôle que les curés de paroisse avaient sur la vie et la structure de la paroisse. Les principaux responsables du gouvernement étaient le curé de la paroisse, suivi du ou des capitaines de milice.

Le capitaine de milice, en plus de diriger la force de milice de la paroisse, agissait comme maire, organisait les réparations des routes et tout travail commun à la paroisse et réglait les conflits. Il s’agissait d’un poste important au sein de la communauté, en plus d’avoir un lien étroit avec l’Église. Dans l'Église catholique, le capitaine de milice avait une place désignée à l'avant de l'église et recevait la communion en premier (après le clergé). Vous pouvez donc voir que le capitaine de milice devait être de bon caractère et dans les bonnes grâces du curé de la paroisse.

 

Autre remarque sur les registres de l'Église catholique

Chaque paroisse était tenue de faire une copie du registre de l'église et, une fois rempli, d'envoyer l'un des livres au siège pour le conserver en lieu sûr. Ceci est important dans le cas du mariage de Pierre Joseph et Marie Louise Bélédau, car les deux registres contiennent la même entrée de nom pour Marie Louise Bélédau et Josephte Bélédau, mais dans l'un des livres, une correction a été apportée : Josephte est barrée et Louise a été écrite. Cela se trouve à la fois dans le corps de l'entrée et dans la marge de gauche.

 

C'est l'une des preuves que Marie Louise Bélédau est son nom correct et non Josephte comme Pierre Joseph l'appelait. (peut-être comme terme affectueux ????).

Des images des deux entrées du registre paroissial sont disponibles sur Ancestry.ca

 

Ainsi, en 1813, la Milice promeut Pierre Joseph au rang de capitaine, mais cela ne peut tout simplement pas être accepté car Pierre Joseph n'est pas marié à Marie Louise Bélédau, ils ont des enfants de mères différentes et les enfants n'ont pas été baptisés. Le fait que Marie Louise Bélédau soit qualifiée de sauvage par le curé de la paroisse (aujourd'hui, l'interprétation politiquement correcte du mot sauvage est « du pays indien ») n'aide peut-être pas.

La seule façon pour Pierre Joseph d'occuper le poste de capitaine est d'épouser Marie Louise Bélédau et de faire ensuite reconnaître les enfants comme les enfants légitimes de Pierre Joseph et Marie Louise Bélédau.

 

Le nom de Marie Louise Bélédau

 

Il y a parfois une différence entre le nom d'une personne et le nom que lui donnent ceux qui l'entourent. C'est l'un de ces cas.

Il y a parfois une différence entre le nom d'une personne et le nom que lui donnent les gens qui l'entourent. C'est le cas ici. Marie Louise Bélédau (son vrai nom) a été appelée Josephte Beledau / Marie Louise Beledau / Josephte Belley etc.

Explorons donc cette confusion.

D'abord, tous ces noms désignent la même personne, Marie Louise Bélédau.

Nous pouvons montrer que Marie Louise Bélédau est bien son nom propre en citant des exemples de Marie Louise donnant son nom dans un cadre officiel à une personne d'une certaine autorité.

1- Baptême de Marie Louise Bélédau le 4 février 1813

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-8993-WRH2?i=57&wc=HC72-BZ9%3A15298201%2C16889401%2C17609301&cc=1321742

Acte de décès de Marie Louise Bélédeau:

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-L993-W5RQ?i=157&wc=HC72-BZ9%3A15298201%2C16889401%2C17609301&cc=1321742

2- Mariage de Marie Louise Bélédau le 18 février 1813

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QSQ-G993-WRVK?i=59&wc=HC72-BZ9%3A15298201%2C16889401%2C17609301&cc=1321742

 

Remarque... Dans les deux registres paroissiaux de la paroisse de Saint-Martin, les deux entrées originales indiquent que le nom de Marie Louise Bélédau est Marie Josephte Bélédau. Cependant, dans une copie du registre paroissial, le nom Josephte a été barré dans le corps de l'entrée et dans la marge de gauche et a été remplacé par Louise.

Cette correction montre que Josephte n'est pas le prénom de Bélédau.

3- Le baptême de Pierre Berland le 12 mai 1816 indique son nom comme étant Louise Bélédau.

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QSQ-G993-WRNF?i=137&wc=HC72-BZ9%3A15298201%2C16889401%2C17609301&cc=1321742

4- La rédaction des testaments de Marie Louise Bélédau et Pierre Joseph le 30 avril 1817. À Montréal, notaire public - Trudeau, François-Joseph. Actes de notaire numéros 512 et 513.

5- Le décès de Marie Louise Bélédau le 22 juin 1817 indique son nom comme étant Marie Louise Bélédau.

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-L993-W5RQ?i=157&wc=HC72-BZ9%3A15298201%2C16889401%2C17609301&cc=1321742

 

En résumé, la seule fois où le nom Josephte est utilisé, c'est lorsque Pierre Joseph est présent et propose le nom de Bélédau.

 

Le prochain problème lié au nom de Bélédau est que Marie Louise Bélédau a été documentée comme étant nommée Marie Louise Belley.

 

Première question, "D'où vient le nom Belley" ?

Les trois mariages ci-dessous sont ceux des enfants de Marie Louise Bélédau et il est clair que les enfants de Bélédau connaissaient son nom sous le nom de Belly.

 

La première utilisation enregistrée du nom "Belly" pour s'adresser à Marie Louise Bélédau est le 8 février 1836 au mariage de Pascal Breland et Maria Grant.

https://www.ancestry.ca/discoveryui-content/view/10252%3A61513

La deuxième utilisation enregistrée du nom "Belly" pour s'adresser à Marie Louise Bélédau est le 13 novembre 1838 au mariage d'Elise Breland et Louis Labelle.

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-899Q-MSX8?i=126&wc=HCQX-GP8%3A15298201%2C16889401%2C18210701&cc=1321742

La troisième utilisation enregistrée du nom "Belly" pour s'adresser à Marie Louise Bélédau est le 9 avril 1839 au mariage de Pierre (junior) et Elmire Vernier Ladouceur.

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-899Q-MSDM?i=147&wc=HCQX-GP8%3A15298201%2C16889401%2C18210701&cc=1321742

Gardez également à l'esprit que Marie Louise Bélédau était décédée en 1817, soit une vingtaine d'années avant ces mariages, sans que personne ne puisse corriger le nom Belly à mesure qu'ils grandissaient.

 

Notez que Belley n'était pas le vrai nom de Marie Louise Bélédau, donc toutes les affirmations selon lesquelles Marie Louise Bélédau est la fille d'Antoine Belly sont tout simplement fausses.

 

Retour à la chronologie.

 

1806 Naissance d'Édouard Berland, il n'existe aucun acte d'église de sa naissance, sauf la référence à celle-ci lors du mariage de ses parents,

Marie Louise Bélédau et Pierre Joseph en 1813 à la paroisse Saint-Martin, Laval.

 

1808 Naissance de Marie Elise Berland, il n'existe aucun acte d'église de sa naissance, sauf la référence à celle-ci lors du mariage de ses parents,

Marie Louise Bélédau et Pierre Joseph en 1813 à la paroisse Saint-Martin, Laval.

 

1811 Naissance de Pascal Berland, né 15 juin 1811. Il n'existe aucun acte d'église de sa naissance, sauf la référence à celle-ci lors du mariage de ses parents, Marie Louise Bélédau et Pierre Joseph en 1813 à la paroisse Saint-Martin, Laval.

https://www.biographi.ca/fr/bio/breland_pascal_12F.html

 

1813 Jusqu'à cette date, il semble que Pierre Joseph n'ait eu aucun contact avec l'Église catholique autre que son baptême au Fort Saint-Frédéric en 1758. Pierre Joseph est membre de la milice depuis environ 7 ans (depuis 1805) et est maintenant sur le point d'être

promu au rang de capitaine à condition qu'il reçoive la bénédiction du curé de la paroisse.

Cette bénédiction ne sera pas accordée tant que Pierre Joseph n'aura pas amené sa famille à l'Église catholique.

 

Ainsi, en 1813, Pierre Joseph prend les mesures nécessaires pour amener sa famille à se conformer à l'Église.

 

1- 4 février 1813 Marie Louise Bélédau est baptisée à la paroisse Saint-Martin.

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-8993-WRH2?i=57&wc=HC72-BZ9%3A15298201%2C16889401%2C17609301&cc=1321742

 

2- 18 février 1813 Marie Louise Bélédau et Pierre Joseph se marient et les enfants Alexandre, Edouard, Marie Elise et

Pascal sont reconnus comme les enfants légitimes de Marie Louise et Pierre Joseph.

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QSQ-G993-WRVK?i=59&wc=HC72-BZ9%3A15298201%2C16889401%2C17609301&cc=1321742

 

Il y a un problème ici car Clotilde Sophie n'est pas incluse dans le mariage et nous savons qu'elle n'est pas

l'enfant légitime de Marie Louise Bélédau mais la fille de Louise Lisette Umfreville.

 

Il y a aussi le problème qu'Alexandre n'est pas non plus l'enfant légitime de Marie Louise Bélédau mais le fils

de Louise Lisette Umfreville. Comme mentionné précédemment, nous avons maintenant une preuve ADN solide de la lignée d'Umfreville. Bien sûr, le curé de la paroisse n'a aucun moyen de connaître la véritable lignée d'Alexandre, ce n'est donc pas un problème pour le moment.

 

3- 29 juillet 1813. Le problème restant avec la famille et l'église paroissiale est Clotilde Sophie et son statut.

Pour résoudre ce problème, Pierre Joseph emmena Clotilde Sophie à la paroisse Saint-Laurent, à proximité de Montréal, et fit reconnaître Clotilde Sophie comme l'enfant légitime de Lisette Umfreville et de Pierre Joseph.

https://www.familysearch.org/ark:/61903/3:1:3QS7-L99S-LZJP? i=527&wc=HC2N-FM9%3A21449501%2C21449502%2C21820601&cc=1321742

Remarque : Édouard n'est pas allé à la colonie de la rivière Rouge avec le reste de la famille, mais il est resté dans l'Ouest pour poursuivre une carrière de commerçant de fourrures avec la Compagnie de la Baie d'Hudson.

 

1827 Le recensement de 1827 du village de Grantown ou de White Plain (aujourd'hui connu sous le nom de Saint-François-Xavier au Manitoba) indique qu'Alex Berland est la 22e famille sur 23.

Alexander Berland est répertorié comme marié sans enfant.

 

1828 Le recensement de la rivière Rouge de 1828 indique que Pierre Berland est marié avec un fils et deux filles de moins de 15 ans.

 

1829 31 octobre 1829. Décès de Pierre Joseph Berland et inhumation le 2 novembre à Saint-Boniface au Manitoba. Registre des archives de Saint-Boniface.

 

Remarque... La veuve Berland s'identifie dans les recensements comme étant née à Ruperts Land, elle n'est donc pas la même femme "Marie Miller" dans le contrat de mariage du 18 janvier 1818 à Montréal entre Pierre Joseph et Marie Miller.

 

Autre remarque : deux éléments de désinformation distincts qui sont répandus sur les sites Web généalogiques.

 

1. L'affirmation selon laquelle Pascal Berland est né dans la vallée de la Saskatchewan en 1811 n'est pas vraie.

Étant donné que Pierre Joseph et sa famille ont vécu au Canada (Laval) de 1805 à 1820, Pascal n'est pas né dans la vallée de la Saskatchewan en

1811. La " naissance dans la vallée de la Saskatchewan " semble provenir de la demande de certificat métis de Pascal en 1875, où il affirme que son lieu de naissance est la vallée de la Saskatchewan.

Il est possible que la demande de certificat de Pascal ne soit pas approuvée s'il admettait être né au Canada (aujourd'hui le Québec).

En outre, en tant que politicien, Pascal pourrait être plus crédible en tant que leader métis si l'on disait qu'il était né dans l'Ouest.

 

2. Il y a une déclaration qui semble provenir du livre

"A Son of the Fur Trade" de Johnny Grant.

La déclaration de la page 329 est que Catherine Berland née en 1813 était la sœur de Marie Ann Berland née en 1805, fille de Pierre Joseph et Louise Lisette Umfreville.

Ce n'est pas vrai. Catherine Berland née en 1813 était la fille de John Baptiste Berland et Susan McLeod Nipissing. Donc Catherine Berland était la nièce de Marie Ann Berland. La confusion peut être due à la petite différence d'âge de 8 ans.

 

Nous espérons que ces informations apporteront un peu de clarté à ce sujet.

 

Donald Sherk et Patricia Breland Jan 2024

 

Sources de ce billet :

Dossiers de Fort St. Frederic - BAC Canada

 

Registres de l'Église du Québec - PDRD

- Généalogie Québec, Collection Drouin

 

Dossier de Fort Edmonton - Archives de la Baie d'Hudson.

 

Fichiers de droits d'auteur de PDRH Montréal et Généalogie Québec

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