Biographie Castille Joseph
Biographie (Sur WikiTree)
Fils de la Révolution américaine
Jose Rafael Ignacio Bonventura Castille est un ancêtre DAR Patriot, A020190.
Insigne SAR
Jose Rafael Ignacio Bonventura Castille est un ancêtre patriote de la NSRS.
# d’ancêtre de l’URSS : 130188
Grade : Soldat
Drapeau espagnol
Jose Rafael Ignacio Bonventura Castille a des ancêtres espagnols.
Soldat dans la milice des Attakapas sous les ordres de Bernardo de Gálvez
José Rafael Ignacio Bonventura Castille est né le 12 septembre 1732 à Port Mahon, Minorque, Espagne, fils de Miguel Joseph Castell et Antonia Ferrer.
JOSEPH CASTILLE figure sur le Mur des noms du Mémorial acadien de St. Martinville, en Louisiane, sur la plaque 2-R. Il est accompagné de son épouse, Rose Osite Landry, et de leurs enfants, Pierre, Marguerite, Marie-Marthe et Joseph. [1]
Jose Castell (Joseph Castille), sa femme Osite Landry, Larmarthe Castille, Paul Brausard (orphelin) et Marguerite Broussard (orpheline) ont été localisés à Upper Marlborough, Maryland après la dispersion. Joseph Castille (Jose Rafael Ignacio Buenaventura Castell est le nom original en catalan indiqué sur son acte de naissance) était le fils de Miguel Castel et Antonia Ferrar. Il est né le 12 septembre 1732 à Port Mahon, sur l’île de Majorque. Il épousa Ozite Landry, née en 1733 (probablement fille de Paul Landry et de Marie Joseph Hébert) après 1755, probablement à Baltimore. Il mourut à l’âge de 50 ans et fut inhumé le 20 octobre 1784 à St. Martinville. Ozite mourut le 16 octobre 1810 à St. Martinville. La première mention américaine de Joseph Castille se trouve dans le recensement de 1762 (1763) des familles acadiennes du Maryland. Dans ce recensement on trouve répertoriés Joseph Castille, sa femme Ozite Landry, La Marthe Castille, Paul Broussard, orphelin, Marguerite Broussard, orpheline (Paul et Marguerite étaient enfants d’Ozite Landry par son premier mari, Joseph Broussard). Le fils aîné de Joseph et d’Ozite, Joseph, est également né dans le Maryland, vers 1764. La mention suivante de la famille Joseph Castille provient d’un document espagnol de 1767, dans lequel Uloa, gouverneur espagnol de la Louisiane, rapporte l’arrivée de 44 à 50 familles composées de 208 à 224 individus arrivant à la Nouvelle-Orléans en août 1767. Dans ce rapport, il indique qu’il a l’intention d’envoyer ces Acadiens en amont de la rivière jusqu’à Saint-Gabriel de Manchac, où les Espagnols construisent un fort. Un document ultérieur indique que ces immigrants étaient partis de Baltimore, que le voyage avait duré 78 jours, y compris une escale de 17 jours à Guarico. Le 18 août 1767, les familles acadiennes sont arrivées au fort Gabriel de Manchac (aujourd’hui paroisse d’Iberville) et des terres sont assignées. Dans la liste des familles, la famille Joseph Castille se composait de Joseph Castille âgé de 32 ans, Ozite âgé de 32 ans, Pedro (probablement Paul) âgé de 14 ans, Margarita âgée de 12 ans, Marie (Marthe) âgée de 6 ans et Joseph âgé de 4 ans. La famille se voit attribuer 8 arpents le long de la rivière sur 40 arpents de profondeur. La concession de terres a été confirmée par une loi du Congrès adoptée le 11 mai 1820, par laquelle « les revendications faites en vertu d’une concession espagnole complète datée du 11 juillet 1774 » ont été vérifiées. Aucun document n’a été trouvé indiquant la raison ou l’heure du déménagement de Joseph Castille dans la région des Attakapas. (Le recensement de 1774 des Attakapas n’inclut pas le nom Castille.) Nous savons que les Castille étaient dans les Attakapas en 1777 parce que le nom de Joseph Castille apparaît dans la liste de la milice de Saint-Martinville datée du 10 mai 1777. Trois enfants naquirent de Joseph Castille et d’Ozite Landry alors qu’ils vivaient dans la région de Manchac : Marie Madeleine en 1768, Jean-Baptiste au début des années 1770 et Manuel après 1770. Joseph Castille a reçu une concession de terre dans la région de La Pointe, nom donné à la terre le long du Bayou Teche où il fait un coude au-dessus et au-dessous de la ville actuelle de Breaux Bridge. De toute évidence, il vivait sur cette terre, car son acte de décès d’octobre 1784 indique « mort sur son habitation à la Pointe ». [2]
|