|
|
| ID No: |
-755398 |
| Firstname: |
Lucienne |
| Name: |
Dubois
|
| Gender: |
F |
| Occupation: |
Soeur de Congrégation |
| Born: |
18 March 1918
|
| Parish/City: |
St-Didace |
| Country: |
Canada |
| Death: |
25 October 1977 - Age: 59
|
| Parish/City: |
Montréal |
| Country: |
Canada |
|
|
Information, Other Kids, Notes, etc.
Les Sœurs de Sainte-Anne vous supplient très humblement de recommander à Dieu, au Saint Sacrifice de la messe et dans vos prières, l'âme de leur chère Sœur Lucienne Dubois Sœur Marie-Thérèse-Lucie décédée à Lachine le 25 octobre 1977, munie des Sacrements de notre Mère la Sainte Église, dans la 60e année de son âge et la 39e de sa profession religieuse. Son service sera chanté à la Mai.son-Mère, Lachine, rue Provost, vendredi, le 28, à 2 heures.
En notre Maison-Mère de Lachine, le 25 octobre 1977, le décès de notre chère Soeur Lucienne Dubois, Sœur Marie- Thérèse-Lucie - no 2504 - dans la soixantième année de son âge et la trente-neuvième de sa profession religieuse
Née à Saint-Didace de Maskinongé, le 18 mars 1918, du mariage de Hormisdas Dubois et de Flore Aubin, elle reçoit le baptême le lendemain, en la belle fête de saint Joseph. Dans une allégresse toute chrétienne, c'est une double majeure au foyer des Dubois, car il s'agit en réalité de deux naissances: Lucienne entreprend la rude montée de la vie escortée de son frère jumeau Omer. La Providence sera généreuse envers cette famille à la foi intrépide: dix garçons et trois filles. Ils quitteront bientôt Saint-Didace pour le Lac Saint-Jean. Plus tard,
Une retraite fermée la confirme dans sa décision et, ayant bouclé ses dix-huit ans, le 12 janvier 1937 elle se présente au Mont-Sainte-Anne« heureuse de répondre à l'appel mais combien peinée de quitter ses bien-aimés parents »..
La cuisine du pensionnat L'Ange-Gardien et celle de l'école Saint-Arsène. Elle est appelée aux États-Unis, principalement à l'Académie Sainte-Anne de Marlboro
Lingère, réceptionniste, réfectorière. A Napierville,
vitale ».
A Noël 1976, elle avait de nouveau accepté la responsabilité d'une cuisine à la résidence Provost. Dès le 12 janvier 1977, elle devait être hospitalisée au Pavillon Sainte-Anne.
Elle a obtenu de notre Mère bien plus qu'un retour à la santé: le désir profond de se conformer à la volonté du Seigneur. Quelques jours avant sa mort, sa supérieure lui a demandé: Lucienne, es-tu toujours prête à faire la volonté divine? Incapable d'articuler une parole, mais très lucide, elle a fait signe de la tête « oui, oui». Cette disposition intérieure d'union de sa volonté à celle de Dieu, jusque dans la mort, n'est-ce pas le signe d'une authentique sainteté?
Lorsque son état lui donna l'évidence de l'inévitable qui s'annonçait, elle entra paisiblement et avec foi dans le chemin qui conduit à la Vie. Sentant la fin venir à brève échéance, elle dit un bonjour ultime à ses frères et sœurs à la fin d'une visite.
R.I.P.
Jeanne Durivage, s.s.a.
|
|
